“Laporta, le coup de fil interdit : la face cachée du Clasico qui fait trembler la FIFA”
Depuis le légendaire Clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone, une ombre plane sur le monde du football espagnol. Alors que les débats autour du penalty refusé à Lamine Yamal semblaient s’apaiser, une nouvelle bombe vient d’exploser : selon plusieurs médias catalans, Joan Laporta aurait personnellement contacté l’arbitre Soto Grado quelques heures après la rencontre.
La conversation, qui aurait duré moins de cinq minutes, aurait été “violente” selon une source proche de la Fédération. On y entendrait, d’après les rumeurs, le président du Barça reprocher à l’arbitre d’avoir “volé un match historique”. Depuis, Soto Grado serait porté disparu, n’ayant donné aucun signe de vie ni à la Fédération espagnole, ni à la FIFA.
À Madrid, certains affirment qu’il a été envoyé en “retraite anticipée” sur décision de sa famille. À Barcelone, on crie au complot médiatique. Les journalistes d’El Nacional vont plus loin : ils évoquent un enregistrement audio actuellement entre les mains d’un célèbre chroniqueur télé, prêt à le diffuser “au moment opportun”. Si cela s’avérait vrai, cela pourrait provoquer un séisme politique et sportif sans précédent.
De son côté, Laporta a démenti toute implication, assurant qu’il “n’a jamais menacé personne”. Pourtant, plusieurs sources au sein du club auraient confirmé que le président était “hors de lui” après la défaite. Dans les bureaux de la FIFA, la situation est prise très au sérieux : une enquête interne aurait été ouverte pour “pression ou tentative d’influence sur un arbitre international”.
La tension monte encore d’un cran alors qu’un mystérieux message posté sur les réseaux sociaux attribué à Soto Grado, puis rapidement supprimé, disait simplement : « Tout le monde saura bientôt la vérité. »
Depuis, les spéculations s’enchaînent : disparition volontaire ? Fuite organisée ? Ou simple manipulation médiatique ? Une chose est sûre : le Clasico ne s’est pas terminé au coup de sifflet final.
Affaire à suivre de très près… car cette fois, ce n’est peut-être pas le football qui va perdre, mais sa crédibilité.
Source : compilation de plusieurs médias espagnols et catalans.
